penséespansées
mercredi 2 juillet 2014
brûlure de vie ...
Brûlure de vie ...
y a rien à faire,
chus trop intense
je brûle tout ce qui m'approche
à part ma descendance
même su'l gros break
je roule à mille à l'heure
et même toute en pleurs
j' resplendis comme mille fleurs
et je me leurre, et je te leurre,
et vous vous leurrez
de tout ces petits bonheurs
que vous croyez toujours dû .....
à qui à quoi, pour qui pour quoi,
ça n'peut évidemment pas être juste pour moi
de qui de quoi, par qui par quoi,
ça n'peut évidemment pas v'nir de moi
au pire aller d'un troubadour, d'un va nu pieds illuminé
mais c'est pas cravaté .... encore moins bien plaçé
peut - être bien un magicien, un téméraire , un terrre à terre
un un trop grand amour, un trop petit détour
dans mon jardin abandonné,
toujours brûlé pour la prochaine saison ...
chus trop intense, ya rien à faire
j'reste sur mon île entourée d'eau
ya pas de danger que j'brûle l'univers
entourée ainsi de mille flots
j'verrrai sans doute passer de beaux bateaux
ceux de mes petits enfants pis de leurs descendants
j'verrai passer de beaux bâteaux
mais je reste au quai
ok ok
lundi 9 juin 2014
Cri d'une mère amère
Mars
Les cœurs étouffés par
le cash
piétinent les cœurs sans
cash
quels cœurs se cachent
s'abreuvant de la faim?
Avril
Aguerrie guerrière
aux idées meurtrières
calme sa colère
devant le soleil levant
leve son verre
DE JUS D'ORANGE
devant sa grange
guerrière
Les pieds et mains troués
du crucifix
du sang des bêtes
abattues
d'odeur mêlée de terre
mouillée
de vie perdue de vie venue
Et c'est la guerre
la pacifique
la sournoise
l'hypocrite
l'économique
celle de l'essence et
celle du pain
celle de l'aisance de la
plaisance de la complaisance
celle d'une surabondance
gaspillée
sous les rires gras des
maîtres
du déplaisir
d'avoir à dire et à
redire
d'avoir à faire et à
refaire
à faire et à défaire
les petites les grandes
pis les moyennes misères
que couvent guerres
aguerre
aguerrie
à vie.
Mai
Avec les enfants et les
grands-mères
le bon dieu descend dans
la rue
à sa place, avec son fils
bien-aimé
là où tant de mains se
tendent
quémendent simplement
leurs droits
Sortir l'Église de
l'École
Y faire entrer toutes les
sectes
brasser avec une couples
de philosophes,
ajouter un grain de psys …
servir, avec prozac,
nananeine et bonbonines,
de préférence un soir de
jeux
aux agneaux sans défense
aux rejetés
aux malheureux
croupissant au pas de la
porte
ramassant une miette ou
deux
à la recherche d'une
bouée...
la bouée l'a mené à la
rue
lui saissant un petit coin
chez les peu nantis
chez les sans-abris
Un p'tit coin de paradis
contre un coin de
parapluie
elle ne perdait pas au
change
pardi
Ya tant et tant de
parapluies
Qu'on ne voit plus les
percées de soleil
qui tente de nous faire un
bonjour à la vie
les casseroles sonnent
creux
les assiettes s'annoncent
vides
l'autonomie se meurt
on lui a volé sa terre,
on lui prend ses graines
mais son âme guérie se
relève
se rebelle …
Juin
La mère
sur les nerfs
devenue mercenaire
sans la bénédiction du
pape
mais avec celle de sa mère
et de sa grand-mère
et de son arrière
venue en rêve la bénir
songe et se pardonne sa
rebellion
qui durera, je vous
l'assure
un peu plus qu'une saison
son âme en deuil
son cœur en cris
sauvera la moisson.
lundi 28 avril 2014
DÉLIRE D'AMOUR
Craque
craquelons craquelettes croque-tambour
Sur
la tour tourniquettes papillettes burelesques
À
mon tout détour dernier pour mieux détourcraqueler
Le
cœur de l'ordinateur essoufflé de respirer
Par
le ventre et les conduits enflés scellés seuls
Presque
prêts à partir. De minuit à partir.
Celliée
en beauté silencieusement belle
Épurée
et tremblée d'un surplus par-dessus
Lavée
et les yeux ouverts par-dessus l'univers
Pour
voir juste un peu où l'on va demain.
Étourdie
pervertie d'un pollué rivage ravage
Les
larmes saignent vaines sereine épiderme
La
veine sereine reigne roi mourant
Par-dessus
le derrière qui ne dérange plus guère
Un
coup de look et de poudre par derrière le dentier
qui
mord mord modicus de bleuïkus de verrusssssses
Attrappées
on ne sait où
Ni
pourquoi ni pour qui
Puisqu'il
n'est plus là.
Et
qu'il ne mord plus par dehors
Juste
dedans danse panse pense et dispense
De
la présence lourde et absente.
Juste
une larme une alarme de goutte à compte-gouttes
Qui
dégoutte et dégoûte son passé avec elle
Dans
le replis de sa joue qui reste aplatissée de départ.
Partie
partir pour partie de collage
De
détour en détour pour masquer les contours
Sublimer
les bonbons pour pas crever toute vidée
D'une
année annuelle saisonnière journalière
Routinière.
Subtilité
voilée menacée de misère
Délicatesse
d'une vie violée, voilée,volée
Qui
demande à partir sans souvenir pour sourire.
Peut-être.
Réchauffée
par le bois qui chante la mort
Mort
mort mord mord mord
Entre
le pouce et l'index
Pour
mordre plus longtemps.
Trépassée
par la morsure de rage
Que
l'on se fait soi-même
Dans
un lac de larmes et de gémirs.
Rappeler
le passé plus vieux que la naissance
Vivre
intence une naisssance de circonstance
Un
pacte de vie avec la mort de dans du des âmes
Qui
baptise enfer bon soulagement
Et
mourir de froidure
En
écoutant Gerry*
Sa
voix chaude qui réchauffe
Depuis
trop d'heures déjà.
Un
rot qui digère par devant derrière
Le
passé le présent la fuite
Attaque
Morsure
à la gorge au rouge-gorge
Qui
dégorge de chair fraîche neuve
Veuve
Veuve
et vieille
Jeune
et seule
Je
préfère sûrement quelque chose : …
Un
beau matin ensoleillé
qu'on
attendait depuis l'après-souper.
Il
va faire beau demain le rose du ciel le dit.
Tripes
déchirées
Souffle
court, inondations
Cataplasmes,
carcasses, grimaces
Nés
pour enterrer le désespoir d'un soir
Et
rire un peu et tenir éveillée
Cette
endormiration qui s'endort
Cette
attac attactivation de mots-tons
Accapariction
accaparition apparition
D'illusionistes
fraudeurs de mal au cœurs.
Tout
autour du rosier
On
étendait la merde de mouton
Afin
que ses péales soient les plus grasses
du
voisinage.
Pisse
sur mon tapis de vie géant volant
Que
je dirige tes pistes
à
travers mots et maux mers et monts
Loin,
dans les bois où les Elfes
Apprennent
à rire aux grands.
Aux
malheureux
Aux
solitaires
Aux
vagabons
Aux
farouches évadés.
Vers
l'oublie qui fait revenir le sourie
Où
le soleil retient
Et
les rests, restes, responsss, responsabili lit lit alitées
Téméraires
absurdes amères et épuisantes
de
la révolte naissante
Pire
qu'une soirée dansante
Un
bal … et un petite princesse violée, volée.
Mais
qu'est-ce qui arrive ?
Avec
un sourire une souris
En
coin, dans l'coin?
Tue
tue tue-mouche
Et
une bonne douche froide.
Qui
est-ce qui applaudit
les
oreilles rosées de gêne et de fièvre?
gerry boulet :( hommage à gerry qui a bercé ces jours sombres ... et bien d'autres encore )
Né à Saint-Jean-sur-Richelieu, fils d'un camionneur, Gérald « Gerry » Boulet grandit dans cette petite ville au sud de Montréal. D'une famille modeste, il développe son goût pour la musique vers l'âge de dix ans.
Il quitte l'école à l'âge de douze ans par manque de discipline. La même année, il commence sa carrière musicale avec son frère, Denis. En 1966, il s'intègre à un groupe appelé Les Gants Blancs dirigé par Jean-Paul Brodeur.
Le 24 juin 1968, Gerry épouse Denise Croteau à Victoriaville. Elle était alors enceinte de Justin à qui elle donnera naissance le 12 novembre. Gerry connaît des problèmes de drogue en 1968. En 1969, il joue dansOffenbach, les anciens Gants Blancs. Sa vie est parallèle à l'histoire du groupe. Son style musical unit la langue française avec le rock américain. Michel Rivard et Plume Latraverse collaborent avec lui.
Le 19 juin 1981, c'est la naissance du deuxième enfant de Gerry et Denise, Marianne, même si Gerry était maintenant avec Françoise Faraldo depuis plusieurs années déjà. Le 28 février 1982, le 1er enfant avec Françoise voit le jour (Julie).
Le groupe Offenbach se sépare en 1985 et ce n'est qu'après cette dissolution qu'il poursuit une carrière en solo, déjà amorcée en 1984, avec l'album Presque 40 ans de Blues, qui n'est pas sans intérêt, mais qui n'avait pas marché à l'époque. Breen LeBoeuf et Johnny Gravel l'aident dans ses tournées. Il chante notamment en duo avec Marjo pour la chanson Avec les Yeux du Cœur .
Publié en 1988, son album Rendez-vous doux s'avère un véritable succès en termes de ventes. En 1989, Gerry gagne trois prix Félix au Gala de l'ADISQ. Le succès populaire arrive dans sa vie alors que la maladie qui l'afflige depuis 2 ans finit par le rattraper. La tournée de spectacles de Rendez-vous doux prendra fin plus rapidement que prévu à l'automne '89. Gerry Boulet doit alors se soumettre à divers traitements. Après avoir lutté contre le cancer du côlon, il meurt le , dans sa maison de Longueuil. La même année, Boulet reçoit un autre Félix à titre posthume.
Le chanteur québécois Philippe Proulx (Pépé et sa guitare) lui rend hommage dans la chanson "Toué tu l'as" sur l'album "Fakek' Choz" en 2005.
vendredi 25 avril 2014
VOUS NE M'AVIEZ PAS DIT LIBERTÉ
Vous ne m'avez pas dit comme serait
bon
Vous m'avez dit que mes poumons
redeviendraient roses
vous m'avez dit que mon souffle moins
court ...
vous m'avez dit un plus beau teint
assuré une meilleure santé.
Vous m'avez menacé d'une vie écourtée
vous m'avez menacé d'une mort
douloureuse
vous m'avez menacé d'avoir aux
derniers jours,
pour compagnon une bonbonne d'oxigène
et un hôpital froid comme maison.
Vous avez essayé les prommesses
avez tentez de m'acheter
de m'apeurer
de me décourager
mais rien n'y faisait, elle
s'accrochait à ma vie
que je lui dise non que je lui dise
oui.
Mais pourquoi pourquoi
ne m'avez-vous pas dit
comme il serait bon
mais bon
mais o combien bon
si bon
bon bon
bonbon ….
Bon à s'élever ver un horizon plus
loin
une force majeure une voix éclatante
prononcée et poussée plus loin dans
le vent
tel un ordre au bonheur, à la liberté.
Vous ne m'avez pas dit l'envol
l'énergie propulsant l'émoi
vous ne m'avez pas dit les enfants
heureux de nous voir renaitre
rajeunir courir rêver bâtir
plus vite maintenant
plus grand sûrement
plus longtemps assurément.
Vous ne m'avez pas dit le bonheur
établissant chez-moi demeure
le bonheur de cette liberté
cette liberté que ne peu plus se taire
trop réjouie de cet air frais
cet air qui m'emporte, se faufilant
sous mes ailes,
se reflétant dans mes mots, dans mes
gestes.
Vous ne m'avez pas dit
les épaules allégées d'un fardeau si
longtemps masqué
qu'on l'oublie tout à fait tant on ne
le voit plus
fardeau fardé de besoins, de désirs
fardeau projettant l'image de
soulagement
alors que, au fond il en rajoute un peu
plus
de jour en jour, subtilement
hypocrite, au service de maitre de la
servitude.
CE GRAND MAÎTRE QUI DOMINE AUJOURD'HUI
À GAUCHE À DROITE
DE GAUCHE DE DROITE
MES GRANDS-MÈRES JOSÉPHINE ET OBÉLINE
EMPORTEZ -MOI DANS LA SIMPLICITÉ DE
VOS VIES
OÙ VOUS, SIMPLEMENT RÉJOUIES ...
RÉJOUIES DE VOIR LES ARRIERES ARRIERES
ARRIERES ARRIERES
PETITS PETITS ENFANTS QUI ALLAIENT
DEVANT ….
PROTÉGEANTS VOS ARRIERES …
DEVANT DEVANT … VOUS NE M'AVEZ PAS
DIT
COMMME LA FORCE DE MES POUVOIRS
AMPLIFIÉE
VOUS NE M'AVEZ PAS DIT NE M'AVEZ PAS
DIT
VOUS NE M'AVEZ PAS DIT QUE MES POUVOIRS
DÉCUPLÉS
POURRAIENT CHANGER LE MONDE!
ET VIVE LA VIE
MORT À LA SURVIE!
Libérée de cette légère fumée
blanche qui endormait les neuronnes magiques de la …
femme juste, rebelle qui sommeillait
attendant son temps,
avec sa force latente trop heureuse de
se mouvoir enfin
afin de s'étirer jusqu'à l'impossible
….
Vous avez perdu mon amour
par votre corruption sans horizon
vous avez perdu ma confiance
par vos mensonges, trahisons.
Je vous ai aimé
jusqu'à ce que trop de souffrances inutiles
vautour de ce monde qui gaspillez à
outrance
mangeant et les tous petits et les
survivants
survivants de cet esclavage qui assez a
duré
et je déclare la guerre à l'injustice
Je fais le grand ménage
dans tous les racoins qui s'offriront
sur mon parcours …
Je me fais fi de vos promesses
je me fais fi de vos menaces,
la souplesse de ma droiture
portera haut et fort la voix
de l'infortuné
de l'illettré
de l'affamé
du soumis
de l'exploité
du méprisé
du faible
de l'affligé
du condamné
du désespéré
de l'aliéné
de l'axphésié
de l'étouffé
du déprimé
du léthargique névrotique
que vous avez créé.
Ça valait vraiment la peine de faire
le saut
de la mettre dehors, de plonger dans
l'abstinence de cette fumée blanche
dont vous m'aviez dit, toute petite
encore, que la vie serait plus belle avec,
vous m'aviez bonbardez de pubs me
disant comme elle serait bonne pour moi,
cette cigarette qui vous a enrichit et
vous enrichit encore
puisque vous la fabriquez, la
distribuez, la vendez, l'imposez
allant même jusqu'à criminaliser
celles ne provenant pas de vos entreprises
ou de celles dont vous avez de
l'emprise.
Mes poumons libérés projèteront plus
fort
les mots pour vous dénoncer
et ceux pour réveiller
ceux que vous endormez
sous les effluves de votre air
empoisonné
de vos drogues dites légales
et de vos mensonges éhontés.
mardi 22 avril 2014
Pourquoi y reste pas ?
J'ai mes petites habitudes et je n'y déroge jamais.
À heure fixe jusque dans les plaisirs.
Les surprises planifiées, attendues, gérées.
Je me le dois.
Si je déroge je glisse.
Dans un tourbillon tout noir de doutes et de peurs .
Sans fond et sans fin.
Ainsi c'est, et c'est comme ça.
J'aimerais bien que la souplesse m'habite, mais non.
Je suis rigide.
Comme le grand chêne qui ne plie pas sous le moindre vent.
Aucune allergie alimentaire
mais temporelle pour sûr !
Si je retarde un repas de 2 heures, je constipe.
Le vendredi c'est le saumon et le dimanche soir c'est le spagatt.
Ca fait des années que c'est ainsi et je vois pas l'utilité de prendre des risques !
Pourquoi j'essaierais un plat que je n'aimerai probablement pas ?
Pareil pour l'habillement
je ne change pas de costume de bain tous les étés
je me suis attachée à mes vieilles bottes d'hiver laçées ...
ça fait au-moins 3-4 années qu'on marche ensemble
et on est encore bien il me semble ...
Si je n'ai pas mon 12 heures de sommeil, je traîne la patte.
Si je rate mon émission d'information du midi, j'angoisse.
Si d'la visite m'arrive par surprise .... pppffff !!!!!
s'rendent compte qui dérangent !!!!!!!!!!
Les commissions, c'est 3 à 5 sinon ... y a trop de monde, les tablettes ne sont pas en ordre.
De 3 à 5, c'est idéal, le changement de personnel.
Celui qui part doit laisser tout bien et celui qui arrive, habituellement vérifie ...
C'est la compétition entre employé et c'est bon pour nous, de 3 à 5 ...
alors les commissions c'est 3 à 5 et c'est ainsi !
Un ami me pose un lapin, c'est l'abandon.
Il change d'idée, trahison !
Pas disponible ?
Impossible s'il avais dit ... pire promis !
Mes petites habitudes je les cajole elle me vont bien
poids santé, teint santé, caca santé ...
la seule chose qui change d'année en année,
que dis-je d'année ? de mois plutôt
de mois en mois, c'est le chum ...
je comprends pas qu'ils ne restent pas
pourtant elles sont bonnes
mes pâtes pis mes pizzas !!!
À heure fixe jusque dans les plaisirs.
Les surprises planifiées, attendues, gérées.
Je me le dois.
Si je déroge je glisse.
Dans un tourbillon tout noir de doutes et de peurs .
Sans fond et sans fin.
Ainsi c'est, et c'est comme ça.
J'aimerais bien que la souplesse m'habite, mais non.
Je suis rigide.
Comme le grand chêne qui ne plie pas sous le moindre vent.
Aucune allergie alimentaire
mais temporelle pour sûr !
Si je retarde un repas de 2 heures, je constipe.
Le vendredi c'est le saumon et le dimanche soir c'est le spagatt.
Ca fait des années que c'est ainsi et je vois pas l'utilité de prendre des risques !
Pourquoi j'essaierais un plat que je n'aimerai probablement pas ?
Pareil pour l'habillement
je ne change pas de costume de bain tous les étés
je me suis attachée à mes vieilles bottes d'hiver laçées ...
ça fait au-moins 3-4 années qu'on marche ensemble
et on est encore bien il me semble ...
Si je n'ai pas mon 12 heures de sommeil, je traîne la patte.
Si je rate mon émission d'information du midi, j'angoisse.
Si d'la visite m'arrive par surprise .... pppffff !!!!!
s'rendent compte qui dérangent !!!!!!!!!!
Les commissions, c'est 3 à 5 sinon ... y a trop de monde, les tablettes ne sont pas en ordre.
De 3 à 5, c'est idéal, le changement de personnel.
Celui qui part doit laisser tout bien et celui qui arrive, habituellement vérifie ...
C'est la compétition entre employé et c'est bon pour nous, de 3 à 5 ...
alors les commissions c'est 3 à 5 et c'est ainsi !
Il change d'idée, trahison !
Pas disponible ?
Impossible s'il avais dit ... pire promis !
Mes petites habitudes je les cajole elle me vont bien
poids santé, teint santé, caca santé ...
la seule chose qui change d'année en année,
que dis-je d'année ? de mois plutôt
de mois en mois, c'est le chum ...
je comprends pas qu'ils ne restent pas
pourtant elles sont bonnes
mes pâtes pis mes pizzas !!!
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