Leur bouche toujours
diptères s'abreuvent à nos puits.
Leurs ailes grandes
ouvertes, de l'ombre sur nos vies.
Et voilà le reflet et
voilà le miroir
Et voilà que soudain,
dangereusement belles
et voilà que soudain,
dangereusement fortes.
Et l'innocence d'antan,
souvenirs perdus
laisse place à l'éclat
de grandeur
à cette table garnie de
caresses et d'émois
à ces coupes remplies de
nos peurs, de nos pleurs.
T'avais raison Ferland,
t'avais raison.
Après trente ans ça
dépend d'elles,
que sorcières que
déesses,
que femme simple de vie
simple
elles gardent toutes leurs
secrets
leurs magiques formules
celles qui nous mènent
aux nues.
Ces nues quelquefois
nébuleuses
mais toujours juste à
point épicées
d'un grain de volupté.
Ces nues réchauffées du
feu de la passion
qui déshabille le cœur
et l'âme de toute raison
Aucun commentaire:
Publier un commentaire